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Le chef de projet technique travaille en étroite collaboration avec le chef de projet fonctionnel. Ce dernier répertorie auprès du client les spécifications fonctionnelles du projet. Le chef de projet technique intervient à partir de l’étape suivante en apportant une réponse technique à l’ensemble des spécifications fonctionnelles du projet. Une fois les réponses techniques définies, il les intègre au cahier des charges qu’il donne ensuite à l’équipe de développeurs, en charge de programmer le site Internet ou l’application. Il coordonne l’équipe tout au long du projet, gère le planning et s’assure que la solution livrée correspond bien aux demandes du client, édifiées dans le cahier des charges.

Le chef de projet technique doit posséder une double compétence : technique et managériale.

Il doit ainsi avoir une bonne connaissance des outils et des pratiques du web et de l’informatique. Par exemple, il est indispensable qu’il comprenne les principaux langages du web (sans forcément savoir les maîtriser !) comme le XHTML, le Java, le PHP… Il doit aussi posséder de bonnes connaissances en ergonomie, en e-learning et en système d’information. La maîtrise des CMS, des Frameworks et des CRM est un plus.

Et bien évidemment, il doit aussi posséder de très bonnes compétences en pilotage de projet : après, tout, c’est aussi un manager qui doit gérer les ressources humaines et techniques au quotidien !

Les compétences du chef de projet technique

Il est rare de devenir chef de projet technique en sortant de l’université ou d’une école d’ingénieur. Il faut généralement compter sur une expérience professionnelle de 3 à 5 ans. Mais si vous comptez vous diriger vers un poste de chef de projet technique, le plus simple est de commencer par un Bac +5 en Université ou en Ecole. Privilégiez les formations qui vous permettront d’acquérir la double compétence : management et technique.

Un chef de projet technique peut espérer obtenir une rémunération de 40.000 € par an en début de carrière. Mais le salaire peut atteindre 70.000 € par an pour un excellent professionnel bénéficiant de quelques bonnes années d’expérience !

Le chef de projet technique est un poste incontournable dans le secteur de l’informatique. En effet, il assure la maîtrise d’oeuvre (MOE) des projets web : sans lui, pas de définition des besoins, pas d’encadrement et pas de vérification du respect du cahier des charges. Découvrez les missions, les compétences, la formation ainsi que la rémunération de ce pilier du service informatique :

Ce développeur programme des applications pour l’iPad et l’iPhone, qui fonctionnement avec le système d’exploitation iOS. Au final, il fait le même métier que le développeur Android… sauf que ce dernier ne développerait pour Apple pour rien au monde !

Au quotidien, le développeur iOS travaille en étroite collaboration avec le chef de projet web. En effet, c’est ce dernier qui est chargé d’établir le cahier des charges, que le programmeur iOS devra suivre pour développer ou mettre à jour une application. Il peut aussi être amené à travailler avec un graphiste ou un directeur artistique pour garder une cohérence tout au long du projet.

Le développeur iOS met ses connaissances techniques au service de l’utilisateur final, pour que celui-ci puisse avoir la meilleure des expériences en utilisant son application. C’est aussi pour cette raison qu’il peut être en charge des tests, mais aussi de la correction des bugs, avant la soumission de l’application à Apple.

Pour devenir développeur iOS, une parfaite connaissance de l’univers Apple est indispensable. Il doit connaître le langage de programmation Objective-C ainsi que l’interface de Cocoa. Mais ce n’est pas suffisant. En effet, il doit aussi posséder une connaissance poussée des règles et des contraintes du mobile, ainsi que des langages de programmation classiques comme le XHTML et le PHP. Une compétence qui se développe et qui est très recherchée : la maîtrise de Swift !

Vous ne jurez que par Apple depuis des années ? Vous êtes particulièrement intéressé par les nouvelles problématiques de développement face à l’arrivée massive du mobile ? Le métier de développeur iOS devrait beaucoup vous correspondre. Découvrez les principales missions de ce programmeur spécialiste de l’univers Apple et du mobile, ainsi que ses compétences, sa formation et sa rémunération.

Une bonne connaissance des technologies Front-End sont requise, comme HTML5, CSS3, JQuery. Le développement Back-End se fera au travers du JavaScript du Node.js souvent associé à Express.js et la manipulation d’une base de données (souvent NOSQL/MongoDB) avec une API Restful. Ce développeur doit aussi être particulièrement à l’aise avec des sites d’hébergement comme Amazon Web Services ou encore Heroku.

Les compétences requises dans le poste de développeur Node

Pour devenir développeur Node.js, aucun prérequis en terme de formation n’est obligatoire. Toutefois, une formation dans le domaine de l’informatique (bac+5 dans l’idéal) vous permettra d’apprendre les bases de la programmation objet, de gagner en expérience durant vos stages, et de développer avec les bonnes pratiques requises.

La formation pour devenir développeur node.js

En débutant dans le métier, le développeur Node.js touche en moyenne entre 38.000 € et 42.000 € par an en fonction de son niveau d’étude. A 2 ans d’expérience, les salaires tentent à s’harmoniser (sans distinction en terme de formation) entre 43 et 48 k€. Après 5 années d’expérience, les salaires peuvent aller jusqu’à 65k€ notamment sur des postes d’architecte ou de lead développeur.

Le métier de développeur web est aujourd’hui très prisé et recherché. Aujourd’hui le développeur web peut développer côté front-end et côté back-end. Le Node.js issu du langage JavaScript permet de développer côté Back-End. De nombreux développeurs tendent à se spécialiser à gagner en expertise en le développement node.js. Voici une fiche détaillée de ce métier.

Le DevOps peut s’occuper des missions de développement et d’exploitation. Sa double compétence lui permet de créer des applications qui sont parfaitement adaptées à l’infrastructure et qui continuent de fonctionner une fois mises en place. Par rapport à un métier classique de développeur ou d’administrateur système, le DevOps a donc une obligation de qualité pour toutes les étapes du projet.

Le DevOps doit posséder une double compétence : il doit s’y connaître en développement de sites Internet, mais aussi en administration d’applications. Ses compétences en informatique doivent donc être poussées.

Pour devenir DevOps, il est essentiel de suivre une formation en informatique (Bac +5) en école ou en Université. Mais ce n’est pas suffisant : seules quelques années d’expérience permettront au développeur en herbe de devenir un véritable DevOps.

Le DevOps est un profil encore rare en France. D’ailleurs, les offres d’emploi sont aussi minoritaires (il y en a beaucoup plus aux Etats-Unis où cette fonction est bien plus courante). Un profil rare et recherché est souvent synonyme de bonne rémunération : 45.000 à 80.000 € par an en moyenne pour un développeur ayant 3 à 10 ans d’expérience et possédant la fameuse double compétence.

Avez-vous déjà entendu parlé de DevOps ? Il s’agit tout simplement de la contraction de development (développement) et d’operations (exploitation). Depuis quelques années, le secteur de l’informatique évolue : alors qu’avant, le développeur et l’administrateur système travaillaient indépendamment les uns des autres, il semble maintenant bénéfique de les rassembler en un seul métier : le DevOps. Dans quel but ? Une meilleure coopération visant à mieux concevoir les applications.

L’expert Javascript a pour principale mission de développer des sites Internet ainsi que des applications à l’aide du Javascript. Voici comment se passe son travail au quotidien :

Le chef de projet lui fait part du cahier des charges du client. Il l’examine et trouve la solution adéquate pour pouvoir répondre au mieux à toutes les demandes du client. Il peut ensuite passer au développement pur de la solution. Avant de livrer le produit final au client, il doit procéder à des tests utilisateurs pour vérifier que l’application fonctionne bien. Le cas échéant, il retravaille l’application jusqu’à ce que celle-ci fonctionne parfaitement. Après la livraison au client, l’expert Javascript peut être amené à intervenir sur son application pour corriger des bugs ou améliorer l’application.

Avant tout, cet expert doit posséder de bonnes compétences en Javascript. C’est le minimum. Cependant, il est préférable qu’il connaisse aussi les autres principaux langages de programmation. En dehors de compétences techniques, le développeur Javascript doit aussi savoir analyser un cahier des charges pour comprendre les besoins de son client.

Les compétences de l’expert Javascript

Pour devenir un développeur Javascript, il est important de suivre un cursus Bac+2 à Bac+5 en école d’informatique ou d’ingénieur, voire même en Université. Il s’agit d’une base incontournable pour apprendre toutes les caractéristiques de la programmation web. Cependant, pour devenir un véritable expert, il faut quelques années d’expérience sur le terrain (il n’y a rien de mieux pour apprendre que le terrain !).

Au tout début de sa carrière, il n’est pas rare que le développeur Javascript touche une rémunération de 42.000 € par an. Mais plus son expérience est importante, plus son salaire évolue : il n’est pas rare qu’un expert Javascript ait un salaire compris entre 50.000 et 80.000 € par an dans le meilleur des cas !

Ce métier est donc très attrayant pour les jeunes diplômés qui sortent de l’école ou de l’université, car il offre de belles perspectives de carrière et de rémunération.

La rémunération de l’expert Javascript

L’expert Javascript est un métier incontournable dans le monde de la programmation web. Pour faire simple, il s’agit d’un développeur qui a développé, au fil de ses expériences, une très bonne expertise d’un langage de programmation en particulier. Dans cette fiche métier, revenons sur les missions, les compétences, la formation ainsi que la rémunération de cet expert pas comme les autres !

Sa principale mission est de superviser l’ensemble des projets informatiques de l’entreprise dans laquelle il travaille. Il se charge aussi de définir la stratégie de sa société en matière d’innovation. Il faut savoir que ce métier n’est pas seulement technique : il joue aussi le rôle de commercial auprès des prospects et des clients. En effet, pour chaque projet, il se doit de proposer une solution innovante et répondant parfaitement aux besoins des clients.

Au final, le directeur technique, par son expertise, représente son entreprise auprès des prospects et des clients.

Les missions du directeur technique | CTO

Le directeur technique doit posséder de bonnes compétences en informatique, en management et en gestion. Son expertise du web, des langages de programmation et du développement en général est indispensable pour bien comprendre la finalité de chacun des projets dont il s’occupe, mais aussi pour encadrer les équipes techniques.

Il doit aussi savoir mettre en place une veille pour se tenir au courant des innovations. La recherche de l’innovation étant au coeur de son métier : ses clients attendant de lui qu’il propose des solutions à la pointe de la technologie pour leurs projets.

Les compétences du directeur technique | CTO

Un bac +5 en université, école d’informatique ou d’ingénieur est tout simplement incontournable pour accéder à un poste à responsabilités comme celui de directeur technique. Bien évidemment, il est rare, voire impossible de devenir directeur technique en sortant de l’école ou de l’université. Une expérience de 5 à 10 ans minimum est indispensable.

La formation du directeur technique | CTO

En ce qui concerne la rémunération du directeur technique, il faut savoir qu’elle est plutôt élevée, mais qu’elle varie énormément en fonction de l’entreprise dans laquelle ce dernier travaille. Ainsi, elle peut osciller entre 60.000 et 130.000 € par an en moyenne. Une rémunération qui évolue en fonction de la taille des équipes à manager et des compétences du directeur technique : plus elles sont poussées et rares, plus son salaire est susceptible d’être élevé !

La rémunération du directeur technique | CTO

Des compétences techniques, vous en avez. Des compétences managériales aussi. Vous avez donc peut-être envie de mettre ces compétences au service d’un nouveau challenge, à savoir le métier de directeur technique. Pour vérifier que ce métier est fait pour vous, nous vous invitons à découvrir cette fiche de poste : pour en apprendre plus sur les missions, les compétences, la formation ainsi que la rémunération de ce métier de haut niveau en informatique.

Les missions du développeur full-stack sont très diversifiées, mais elles dépendent aussi beaucoup des besoins de l’entreprise pour laquelle il travaille. Il peut aussi bien travailler sur le back office du site que sur le front end. De même, il peut se charger de l’architecture du site, de l’expérience utilisateur et même de l’intégration html. Un véritable touche à tout qui peut sembler être un OVNI de compétences.

Inutile de préciser que les startups sont paticulièrement intéressées par ce profil. Lorsqu’elles se lancent, elles ne peuvent pas souvent embaucher plusieurs développeurs. L’embauche d’un développeur fullstack est donc une solution à la fois pratique et économique pour les startups et les petites entreprises.

Le développeur full-stack doit maîtriser les principales technologies et les principaux langages de programmation actuellement utilisés s’il veut pouvoir à la fois intervenir sur le front end et le back end des sites Internet ou des applications. Ce professionnel doit donc posséder des compétences généralistes. Il doit aussi savoir faire preuve d’adaptation, car dans la même journée, il peut être amené à travailler sur des missions vraiment très différentes les unes des autres.

Les compétences du développeur full-stack

Pour devenir développeur fullstack, un diplôme de second cycle en informatique est vivement recommandé pour acquérir les bases et savoir les maîtriser parfaitement. Université, école d’ingénieur ou d’informatique : vous trouverez forcément près de chez vous une formation qui vous permettra de développer les compétences nécessaires à l’exercice de ce métier.

La formation de ce développeur touche à tout

En France, ce métier s'est standardisé et est très recherché. Un débutant, sortie d'école d'ingénieur pourra toucher juqu'à 43.000 € / an. Ce que nous pouvons affirmer c'est que le salaire du développeur fullstack dépend énormément de la société dans laquelle il travaille.

Et la rémunération de ce profil atypique ?

Le développeur fullstack est un métier qui s’est beaucoup développé, ces dernières années, aux Etats-Unis. En France, il est devient presque majoritaire, car très demandé par les startups qui ne peuvent pas se permettre d’embaucher plusieurs développeurs. Découvrez le profil du développeur full-stack :

Les missions du développeur Android se rapprochent énormément de celles du développeur IOS. En fait, la seule véritable différence se situe au niveau du système d’exploitation utilisé. Un développeur Android programme uniquement des applications pour les tablettes et les smartphones fonctionnant avec le système d’exploitation Android développé par Google.

Mais en dehors de cette différence notable, leurs missions sont similaires :

Analyse du cahier des charges du client, rédigé par le chef de projet web

Choix de la solution technique la plus adaptée

Développement de l’application en respectant les règles et les contraintes du mobile

Tests pour vérifier que l’application répond bien au cahier des charges et qu’elle convient à l’utilisateur final

Correction des bugs et mise à jour de l’application

Avant de parler des compétences spécifiques à Android, il est important de rappeler que le développeur mobile doit connaître les tenants et les aboutissants du web mobile, ainsi que ses règles et ses contraintes.

Mais ce n’est pas tout : il doit posséder un intérêt particulier pour l’OS de Google, connaître parfaitement le language java et savoir manipuler le SDK Android via des outils comme Eclipse, Android Studio, et le Java Development Kit (JDK). Pour optimiser au maximum les performances des applications, il peut être nécessaire d’intégrer des portions de code natifs en language C et C++ via le NDK (Native Development Kit).

Le système d’exploitation Android évoluant rapidement, le développeur mobile doit aussi rester en veille permanente.

Les compétences spécifiques de ce développeur mobile

Les formations en développement mobile se sont encore très rares, même si les modules sont de plus en plus courants en université et en école d’informatique. Il est généralement conseillé de s’inscrire en BTS ou DUT informatique et de poursuivre ses études dans une école d’informatique, d’ingénieur ou même en Université pour consolider ses connaissances, notamment en ce qui concerne les langages de programmation.

Au tout début de sa carrière, le développeur Android touche en moyenne un salaire allant de 40.000K par an. Ce n’est qu’après quelques années qu’il pourra espérer toucher une rémunération comprise entre 55.000 et 65.000 € par an.

La rémunération du débutant à l’expert

Le métier de développeur mobile est de plus en plus demandé, mais les candidats se font encore rares. C’est donc l’occasion de tirer votre épingle du jeu ! Découvrez le métier de développeur Android : ses missions, ses compétences, sa formation ainsi que sa rémunération.

Le rôle de ce professionnel est de définir et de concevoir l’architecture technique des systèmes d’information. Une mission complexe qui demande des compétences techniques poussées. Mais ses missions ne s’arrêtent pas là. L’architecte technique doit aussi perpétuellement vérifier, corriger et faire évoluer l’architecture du système d’information, pour que celle-ci continue d’être efficace et performante pour l’organisation. Son rôle est aussi de définir les normes ou encore les procédures qui sont utilisées dans le système d’information.

L’architecte technique doit posséder un très bon bagage en développement, en intégration et en informatique en général : connaissance des systèmes, des bases de données, des réseaux. Mais ce professionnel doit aussi posséder des compétences managériales, car bien souvent, il doit encadrer une équipe. Sans oublier un intérêt naturel pour l’informatique et ses évolutions : il doit mettre en place une veille qui lui permettra de garder ses connaissances ainsi que ses compétences à jour. Le métier d’architecte technique étant très complexe, il faut aussi que ce professionnel sache tenir des délais et travailler dans l’urgence, voire le stress. Il s’agit donc d’un métier technique qui demande aussi des compétences humaines importantes.

Les compétences de l’architecte technique

Il faut savoir que les postes d’architecte technique s’adressent rarement aux profils juniors. En général, ce sont d’anciens chefs de projet technique ou des ingénieurs système et réseaux, qui après quelques années d’expérience, accèdent à ce poste. A l’origine, ces professionnels ont donc un bac+2 à Bac+5 en informatique. Pour devenir architecte technique, ils devront passer le certificat de qualification professionnelle d’architecte technique.

La rémunération moyenne de l’architecte technique est de 50.000 €, ce qui s’explique facilement, car les offres d’emploi ciblent avant tout les profils ayant déjà quelques années d’expérience. Il faut aussi savoir qu’au bout de quelques années en tant qu’architecte technique, il est possible d’accéder à la fonction de directeur technique : une belle évolution de carrière et de rémunération à prévoir…

La rémunération de l’architecte technique

Vous travaillez dans l’informatique depuis quelques années et vous êtes à la recherche d’un véritable challenge pour votre carrière ? Vous recherchez avant tout un métier passionnant avec de belles perspectives d’évolution ? Découvrez le poste d’architecte technique ! Dans cette fiche métier, nous allons faire le point sur les missions, les compétences, la formation ainsi que la rémunération de ce professionnel de l’informatique.

La mission de ce développeur est de créer des sites Internet dynamiques grâce à son langage de programmation de prédilection : le PHP. Pour cela, il peut utiliser, selon ses préférences et ses compétences, le PHP sans framework, avec framework propriétaire ou avec framework en open source (Symfony, Zend…).

Il travaille en étroite collaboration avec le chef de projet web, chargé d’établir le cahier des charges en fonction des demandes et contraintes du client. Le développeur PHP étudie le cahier des charges pour choisir la solution la mieux adaptée : par exemple, la mise en place d’un CMS de type WordPress ou Prestashop. Une fois la solution trouvée, il développe des pages dynamiques en utilisant des suites de logiciels : par exemple, le LAMP (Linux, Apache, MySQL et PHP). Une fois que le site Internet est développé, il peut intervenir dessus pour réparer des bugs et faire des mises à jour

Un développeur PHP qui ne maîtrise pas le PHP, cela n’existe tout simplement pas ! Il s’agit du fondement même de son métier. Bien évidemment, la maîtrise d’autres langages de programmation, des CMS ainsi que des frameworks est aussi conseillée pour réussir à remplir ses missions.

Pour devenir développeur PHP, il faut faire des études supérieures en informatique, même si certaines personnes y parviennent en autodidacte. Nous vous conseillons de suivre un cursus en Université, école d’Ingénieur ou école d’Informatique : partout en France, il existe de nombreuses formations pour acquérir de solides compétences en PHP et dans le développement en général.

La rémunération du développeur PHP dépend de deux éléments : son expérience et ses compétences. Ainsi, un débutant avec des compétences de base pourra espérer toucher 32.000 € par an alors qu’un même profil avec des connaissances plus poussées pourra toucher 40.000 € par an en début de carrière. Sachant qu’au bout de quelques années, les profils experts peuvent voir leur rémunération s’envoler : jusqu’à 60.000 € par an.

Le PHP est un langage de programmation qui est largement utilisé dans le secteur de l’informatique depuis des années. Certains développeurs sont d’ailleurs de véritables spécialistes en PHP : qui sont-ils ? Quelles sont leurs missions au quotidien ? Quelle est la rémunération du développeur PHP ?

Le développeur react.js est un expert dans le développement d’applications mobiles. Ainsi, sa mission principale est orientée sur cette tâche. Il peut également être sollicité pour des missions liées au développement d’APl ou encore de front-ends associés. Le développement de tests unitaires ou fonctionnels peut également figurer parmi les attributions de ce professionnel. La rédaction de la documentation technique peut aussi lui être confiée afin d’éviter toute erreur de compréhension.

Pour exercer ce métier, une passion pour le web, les dernières technologies et le design est sollicitée. Être familier avec différents environnements techniques comme HTML5/CSS3, React.js, JavaScript, Amazon Web Services, Android ou encore ES6 constitue également un atout. Bien évidemment, le développeur react.js doit également être familier avec les outils de développement web et doit s’adapter facilement aux nouveautés.

Les compétences requises dans la profession

Pour prétendre au poste de développeur react.js, il faut décrocher un diplôme d’ingénieur en informatique en développement web et se spécialiser dans l’exploitation de react.js en vue d’obtenir un Bac + 5. Être familier avec le langage JS associé au framework MVC constitue un réel atout dans ce poste. La familiarité avec les outils en question s’acquiert après un stage en développement d’applications mobiles. Le Front-end doit également être maîtrisé avant l’exercice de ce métier.

La formation pour devenir développeur React.js

Le développeur react.js est un expert en matière de développement. En plus de maîtriser le domaine du développement web, il excelle également dans la conception d’applications pour mobile. Pour cette raison, un débutant dans ce métier touche environ 42.000 € par an. Avec une bonne ancienneté et de l’expérience, certaines entreprises n’hésitent pas à lui proposer un salaire compris entre 60 000 € et 75 000 €.

Le domaine est large en matière de développement. Ainsi, chaque développeur est libre de choisir sa spécialité et d’évoluer dans un univers spécifique de la technologie. Parmi les spécialistes du développement web se découvre le développeur react.js. Il s’agit d’un développeur d’applications mobile spécialisé dans l’exploitation de React.js, une bibliothèque JavaScript open-source. Voici une fiche complète afférente à ce métier.

Il est avant tout un développeur PHP. A la différence qu’il s’est spécialisé dans le framework open source Symfony. Ce dernier lui simplifie ses tâches au quotidien : il n’a pas à tout coder lui-même, car le framework s’en charge pour lui grâce à des bundles développés par la communauté. Un gain de temps à ne pas négliger, les délais de production étant de plus en plus courts.

Au quotidien, le développeur Symfony fait le même travail que le développeur PHP :

– Il analyse le cahier des charges du client pour en ressortir la solution technique la plus adaptée.

– Il développe le site Internet ou l’application grâce au framework Symfony

– Il teste le site ou l’application et corrige d’éventuels bugs avant de livrer le produit final au client.

Le développeur Symfony doit avant tout posséder des compétences techniques poussées : le couple HTML5/CSS3, le JavaScript et bien évidemment le PHP qu’il doit connaître sur le bout des doigts. Il doit aussi savoir utiliser les bases de données, relationelles ou non comme MySQL, PostgreSQL, voire MongDB. La maîtrise du framework open source Symfony est indispensable et la connaissance des principaux CMS recommandée.

Pour sa formation, le développeur Symfony a surtout besoin d’apprendre à maîtriser les langages de programmation. C’est pourquoi un DUT/BTS informatique suivi d’une licence ou d’un master professionnel en Université, école d’informatique ou d’ingénieur est le parcours privilégié par de nombreux professionnels de l’informatique.

Tout juste diplômé, le développeur Symfony peut espérer toucher une rémunération de 40.000 € par an. Après quelques années, celle-ci peut avoisiner les 55.000 €par an. Mais les profils experts avec des compétences variées et poussées peuvent même toucher un salaire compris entre 60 et 75K par an.

Mais qu’est-ce qui distingue le développeur PHP du développeur Symfony ? Tout simplement, l’utilisation du framework open source Symfony. Si vous voulez devenir développeur et que le PHP n’a plus de secret pour vous, que diriez-vous de vous diriger vers le poste de développeur Symfony ? Découvrez les missions, les compétences, la formation et la rémunération de ce professionnel de l’informatique !

Si le développeur Back-End travaille dans l’ombre, ce n’est pas le cas du développeur Front-End. Sa mission est de rendre les sites Internet ergonomiques et accessibles pour les internautes en développant une interface claire, rapide et facile à utiliser. Sachant que, de nos jours, les sites Internet doivent répondre aux normes du W3C et être accessibles quel que soit le navigateur utilisé par l’internaute (Firefox, Chrome, IE…).

Au quotidien, le développeur Front-End s’occupe donc de programmer l’interface des sites Internet en fonction du cahier des charges de son client et des impératifs liés à l’accessibilité et à la compatibilité entre les navigateurs.

Le développeur Front-End doit absolument posséder des compétences en HTML5 et en CSS3. D’ailleurs, il doit continuellement mettre à jour ses connaissances, car les évolutions sont très rapides. Mais la connaissance du HTML5 et du CSS3 n’est pas suffisante : il doit parfaitement maîtriser les normes du W3C (même si là aussi, une veille poussée s’impose) pour rendre les sites accessibles. Il doit aussi parfaitement connaître les navigateurs ainsi que leurs spécificités pour développer des sites Internet fluides et agréables à utiliser pour tous les internautes.

A noter : la maîtrise du JavaScript est un grand plus, car elle permet d’accéder à des postes de développeur Front-End bien mieux payés qu’avec de simples compétences en HTML5 et CSS3.

Les compétences de l’ingénieur Front-End

Une formation initiale en informatique est indispensable pour apprendre les langages de programmation les plus couramment utilisés pour le développement Front-End (HTML5, CSS3, JavaScript…).. Un DUT/BTS informatique suivi d’un diplôme de second cycle en Université, école d’ingénieur ou d’informatique permettront au futur développeur d’acquérir d’excellentes bases qui lui serviront dans ses missions quotidiennes.

La rémunération du développeur Front-End évolue énormément en fonction des langages utilisés. Ainsi, à ses débuts, un développeur Front-End qui ne maîtrise que le HTML5 pourra espérer toucher une rémunération de 35.000 € par an environ. Alors qu’un même profil avec de très bonnes compétences en Javascript sur Framework pourra toucher jusqu’à 42.000 € par an. Après quelques années d’expérience, le salaire peut devenir très attractif de l’ordre de 60.000 € par an.

En informatique, les métiers évoluent rapidement. Il y a quelques années, les intégrateurs HTML côtoyaient les développeurs Back-End pour créer des sites Internet. Mais c’était sans compter l’arrivée du développeur Front-End, à mi-chemin entre ces deux métiers. Dans cette fiche de poste, vous trouverez des informations incontournables sur les missions, les compétences, la formation ainsi que la rémunération du développeur Front-End.

Alors que le développeur front-end se charge exclusivement de créer une interface claire et simple pour les internautes, le développeur back-end travaille principalement sur le back-office ainsi que sur tous les éléments d’un projet web qui sont ”invisibles” (mais indispensables) lorsque l’on navigue sur un site Internet.

Ainsi, le programmeur back-end se charge de la mise en place, de la configuration, du développement et de la maintenance du serveur, de la base de données et de l’application web en général. Un développeur de l’ombre sans lequel les sites Internet et les applications ne pourraient tout simplement pas fonctionner et exister ! Bien évidemment, ces deux professionnels collaborent étroitement tout au long du projet de développement web.

En plus d’un grand intérêt pour l’informatique en général, le développeur Back-end ne doit pas avoir peur de mettre les mains dans les langages de programmation et les bases de données : PHP, Ruby, Python et SQL sont ses meilleurs amis. L’utilisation parfaite de frameworks comme Cake PHP, Symfony ou encore Code Igniter est aussi indispensable.

Les compétences du développeur Back-end

Comme pour de nombreux autres métiers liés à l’informatique, plusieurs cursus sont possibles pour devenir programmeur back-end. Intégrer une Université, une école d’informatique ou une école d’ingénieur est incontournable pour apprendre à bien manier les langages de programmation ainsi que les bases de données. Vous pourrez commencer votre cursus par un DUT ou un BTS informatique avant d’approfondir vos connaissances en second cycle.

La rémunération du développeur Back-end est bien souvent considérée comme un peu plus importante que pour celle du programmeur Front-end, même si la différence est de moins en moins palpable. Ainsi, alors qu’un débutant sortant d’une école d’informatique peut espérer toucher 38.000 € par an, un développeur confirmé ayant une connaissance poussée des langages de programmation peut obtenir une rémunération de 60.000 € par an. Sans parler des profils experts que les grandes entreprises n’hésitent pas à fidéliser avec un salaire à la hauteur de leurs compétences.

La rémunération du développeur Back-end

On parle souvent de développeur back-end et front-end. Mais quelle est la différence entre ces deux métiers, indispensables l’un à l’autre ? Dans cette fiche de poste, nous vous proposons de faire le point sur les missions, les compétences, la formation ainsi que le salaire du programmeur de l’ombre : le développeur back-end !

Le développeur Front-End opère surtout avec CSS3, HTML5 et JavaScript. Pour lui, le développement ne s’arrête pas uniquement à l’exploitation de ces langages de programmation. Il se focalise surtout sur l’exploitation d’Angular, un framework JavaScript Open Source signé Google.

Le principal rôle de ce développeur se rapporte à la création de Single Page Application (SPA) reliée à une API RESTfull. Il peut également apporter son savoir-faire quant à la validation de la communication entre l’application Front Angular et l’API Restful.

Afin de mener à bien ses missions, le développeur Angular doit avoir une bonne connaissance de Twitter Bootstrap. Une interaction avec l’API des réseaux sociaux (Twitter, Facebook, LinkedIn, etc.) est également sollicitée. Le fait d’avoir pris part à un projet Open Source constitue aussi un réel atout dans ce métier. Un bon niveau technique marié à une méthodologie efficace joue aussi en la faveur de ce professionnel du web.

Les compétences requises pour exercer le métier

Sa rémunération avoisine les 38/42 K€ par an s’il est débutant. Avec une expérience de 5 ans et plus, cet expert peut toucher jusqu’à 70 000 € annuellement. Bien évidemment, ce salaire est variable selon l’entreprise et les attributions.

Ceux qui choisissent de devenir développeurs web peuvent se spécialiser en développement Front-End ou Back-End dans un langage de programmation bien précis ou dans l’exploitation d’un Framework particulier en vue de devenir un expert.

Parmi les professionnels les plus rares dans le domaine du développement Front-End se trouvent les développeurs JavaScript / Angular. Découvrons en détail l’attribution de cet expert, ses compétences, sa formation ou encore sa rémunération.

En tant que spécialiste de la science des données, il se base sur la recherche et le croisement de données pour comprendre les problématiques liées aux différents services de l’entreprise. Ces informations vont lui permettre de créer une modélisation statistique afin de déterminer les données pertinentes et de procéder à leur traitement par diverses méthodes (référencement, apprentissage automatique, la visualisation des données…) afin de fournir une stratégie.

Expert du chiffre, le Data Scientist cumule les compétences de statisticien, de mathématicien et d’informaticien pour exploiter efficacement les données qu’il recueille et traite, pour aider l’entreprise à prendre les décisions qui s’imposent en vue de l’amélioration de ses performances et de sa rentabilité. En somme, le Data Scientist se présente en expert pluridisciplinaire, notamment dans les domaines scientifiques, méthodologiques et outils logiciels, en plus de ses connaissances solides en droit des données, mais aussi en respect des aspects éthiques et sociaux, de la confidentialité et de la sécurité.

Compte tenu de l’augmentation exponentielle de la demande, les formations spécifiques au domaine de la science des données se sont multipliées en France. Pour embrasser le métier, on peut par exemple décrocher un Master Spécialisé Data Scientist à L’ENSAE Paris Tech, Télécom Paris Tech, Télécom Nancy ou encore à l’INP et de GEM de Grenoble. En outre, ESSEC/Accenture en Strategic Business Analytics propose aussi de la formation de 40 heures pour les étudiants en MBA.

Quelle formation pour devenir Data Scientist ?

De manière générale, les rémunérations des professionnels des données sont largement supérieures à celles des autres métiers techniques du web. En effet, un jeune diplômé en début de carrière peut espérer entre 42 000 et 50 000 € de salaire brut annuel. Le montant est ramené à 60 000 € pour un profil confirmé et jusqu’à 90 000 € pour les data scientists senior. Bien entendu, ces rémunérations varient selon les années d’expérience, les responsabilités et la politique salariale de l’entreprise.

Le marché du « Big data » connait une croissance de plus de 30 % par an avec 24 milliards de dollars en 2016 contre 3,3 en 2010. Une croissance qui incite l’État à vouloir créer 130 000 emplois de Data Scientist avec un taux de croissance estimé de 31,7 % par an pour ce marché. Actuellement, seuls 13 % des entreprises françaises utilisent des solutions de données massives. Le Data Scientist est donc un métier d’avenir très sollicité.

Un Data Engineer a globalement pour mission de construire des solutions prenant en compte une masse importante de données avec des technologies telles que Spark pour le Big Data, NoSQL pour les bases de données et Hadoop pour les infrastructures.

Il doit s’assurer de la collecte, du stockage et de l’exploitation fluides des données en développant des solutions qui peuvent traiter un gros volume de data dans un temps limité.

Avec un intérêt pour le Développement et Opérations (DevOps), il doit savoir également travailler en concert avec le Data analyst, qui s’occupe de l’agrégation des données et avec le Data  scientist, qui se charge de l’exploitation des données plus complexes et de l’utilisation des outils plus pointus utilisant divers algorithmes.

Afin de pouvoir proposer les meilleures solutions, un Data Engineer doit être un développeur applicatif intime avec l’administration des infrastructures informatiques. C’est également à lui d’animer son équipe. Ainsi, il doit savoir écouter les différentes propositions de chaque équipe et trouver une solution viable dans l’intérêt du système.

Gestion des applications, automatisation des déploiements, installation des différents contrôleurs… sont également des paramètres pouvant jouer en la faveur d’un Data Engineer.

Les compétences requises pour être un Data Engineer

Pour devenir un Data Engineer, il faut d’abord décrocher son baccalauréat scientifique avant d’intégrer une classe préparatoire intégrée dans une école d’ingénieurs, spécialité informatique, de préférence Big Data. En plus de la formation initiale (Bac+5), il faut aussi passer une période significative de stage dans une entreprise pour être opérationnel.

Les formations à suivre pour devenir Data Engineer

En moyenne, ce professionnel de l’informatique gagne chaque année 54 078 euros en France. Ce qui est presque trois fois plus que le salaire minimum dans l’Hexagone. Pourtant, il y a des nuances. En effet, si un Data Engineer débutant gagne environ 38 000 euros par an, cela peut grimper jusqu’à 76 000 euros au fil des ans avec l’expérience. Mais, bien sûr, cela dépend également de l’entreprise.

Rendre autonome un véhicule, permettre à Facebook de marquer un nom dans une photo, ou bien valoriser les données d’une entreprise, c’est le domaine de la science des données qui a connu une croissance fulgurante grâce à l’explosion quantitative des données numériques. Parmi l’équipe de professionnels nécessaires dans ce domaine se trouvent les Data Engineer. Voici tout ce qu’il faut savoir sur son profil.

Avant de parler des missions du développeur .Net, évoquons rapidement la plateforme .Net qu’il utilise au quotidien pour concevoir des applications. Cette plateforme, propriétaire de Microsoft, est apparue au début des années 2000 : l’objectif de Bill Gates étant de promouvoir un tout nouveau langage de programmation, le C#. Considérés comme fiable, sûr et stable, ce langage ainsi que la plateforme .Net ont rapidement été adoptés dans l’univers de la finance et de l’édition des logiciels.

La mission de l’expert .Net est donc de concevoir des applications en .Net. Pour cela, il doit au préalable, comme n’importe quel autre développeur web, analyser les besoins et les contraintes du client grâce au cahier des charges qui lui a été fourni par le chef de projet web. C’est seulement à partir de ce moment-là qu’il pourra coder l’application,  la tester et la soumettre à son client. Il s’occupe aussi du support technique de l’application.

Les compétences techniques du développeur .Net se doivent d’être excellentes. Il doit parfaitement connaître les langages de programmation C#, VB.Net. Ces compétences ne sont pas suffisantes. Le développeur .Net peut ête spécialisé soit en développement Web – ASP.Net MVC par exemple, soit en développement applicatif- C# Winform, WPF etc. Des connaissances supplémentaires en Javascript, CSS, HTML et bases de données sont également souvent exigés dans ce type de poste.

Une formation initiale en informatique est incontournable pour devenir un expert .Net. Pour la formation, vous avez l’embarras du choix : université, école d’ingénieur ou d’informatique. Mais ces formations restant assez généralistes, il vous faudra à un moment ou à un autre, suivre une formation plus poussée pour acquérir des bases solides en .Net.

Les certifications Microsoft (que vous pouvez obtenir en passant des tests pointus) sont également très appréciées par les entreprises qui recrutent ce genre de profils.

Le développeur .Net est un métier très demandé dans les grandes entreprises à la recherche de stabilité pour leurs applications : la rémunération d’un débutant est en général de 35K par an pour un Bac +2 et entre 38.000 € et 41.000 € pour un Bac+5, mais rapidement, au bout de quelques années, son salaire peut atteindre 55.000 € par an. Sachant que ce poste promet généralement de belles évolutions de carrière.

Devenir développeur .Net, ça vous tente ? Ce métier est particulièrement attractif pour les jeunes diplômés, car il permet bien souvent de gagner rapidement en compétences et d’évoluer dans environnement cadré et bien organisé. En terme d’évolution de carrière, par exemple, vous pourrez évoluer en tant qu’architecte. Dans cette fiche de poste, nous allons faire le point sur le développeur .Net, aussi appelé expert .Net : ses missions, ses compétences, sa formation et sa rémunération.

Les attributions de ce professionnel sont orientées sur l’exploitation de Python dans le domaine du développement web. Aujourd’hui, tout développeur Python participe à la migration d’un langage de développement spécifique vers Python 3, un besoin récent des entreprises qui ont trouvé en ce dernier une meilleure performance et fiabilité. Le maintien et l’amélioration de la solution d’analyse de données réseau développées en Python 3 figurent également parmi les missions confiées à ce professionnel. Cet expert en développement web se voit également confier des tâches spécifiques comme la mise en œuvre des tests unitaires ou encore la participation dans le design et l’intégration de nouvelles fonctionnalités dans les sites web.

Pour intégrer le poste de développeur Python au sein d’une entreprise œuvrant dans le domaine du web, de fortes connaissances du développement web sont sollicitées. Une maîtrise parfaite de toutes les versions de Python est également recommandée. Ce professionnel doit également être capable d’exploiter Git dans un environnement professionnel et doit être familier avec l’environnement Linux. Une bonne connaissance en Big Data constitue aussi un atout dans l’exercice de ce métier.

Pour devenir développeur Python, il faut suivre des études supérieures et décrocher un BAC + 2 ou 3 en informatique. Une fois le diplôme décroché, une formation approfondie relative à la maîtrise de différentes technologies comme JavaScript, HTML, Symfony2, PHP5.3, CSS et bien évidemment Python 3 est de rigueur. Nombre d’entreprises réclament une expérience d’au moins 1 an en tant que développeur Python afin de recruter un élément directement opérationnel.

La formation pour devenir développeur Python

Un développeur Python est un expert. Ainsi, il gagne un peu plus qu’un développeur classique qui touche un peu à tous les langages de programmation. Il faut noter que ce type de professionnel est recruté généralement par les entreprises qui exploitent la plateforme Linux et qui souhaitent utiliser un site web digne de ce nom. Un débutant dans la profession touche en moyenne 43.000 € par an. Avec de l’expérience, son salaire débute à environ 55 000 € par an et connaît une évolution selon son ancienneté et sa performance.

Chaque développeur a le langage de programmation avec lequel il est à l’aise. Il peut également choisir de se spécialiser dans l’utilisation d’un langage précis et devenir un expert de ce langage. Cette fiche métier vous fera découvrir toutes les informations liées au métier d’un développeur python.

Ce programmeur est un développeur IOS qui utilise uniquement Swift, le nouveau langage de programmation d’Apple. Au quotidien, il développe des applications pour l’iPad et l’iPhone.

Ses missions sont donc identiques à celles du développeur IOS : seul le langage de programmation utilisé change. Le chef de projet web travaille sur un cahier des charges qu’il fournit ensuite au développeur Swift. Ce dernier développe l’application avec le langage Swift, se charge des tests et de la correction des problèmes techniques. La dernière étape étant de soumettre l’application mobile à Apple et d’attendre sa validation.

Un bon développeur Swift doit connaître sur le bout des doigts toutes les facettes de ce nouveau langage de programmation. Idéalement, il doit aussi maîtriser le XHTML, le PHP et pourquoi pas l’Objective-C, le langage que le Swift est censé remplacer dans les années à  venir.

Bien évidemment, en tant que développeur mobile, ce programmeur doit aussi comprendre les règles et les contraintes du mobile. Une bonne connaissance de l’univers d’Apple est aussi incontournable.

Les compétences techniques du développeur Swift

Il n’existe pas de formation pour devenir développeur Swift : c’est d’ailleurs pour cela que c’est le moment de tirer votre épingle du jeu et d’attirer les recruteurs ! Une formation initiale en informatique (Bac+2 à Bac+5) est essentielle pour comprendre et maîtriser les principaux langages de programmation. En ce qui concerne le langage Swift, un apprentissage autodidacte et complémentaire est à privilégier. Apple mettant de la documention à la disposition des programmeurs intéressés par ce tout nouveau langage.

La rémunération du développeur Swift s’approche de celle de développeur iOS : 38.000 à 43.000 € pour les débutants, +70.000 € pour les experts. A noter que la maîtrise de ce langage de programmation étant encore relativement rare, certaines entreprises n’hésiteront pas à augmenter la rémunération des profils qu’elles jugent intéressantes pour les attirer et les fidéliser.

Apple a récemment annoncé un nouveau langage de programmation pour le développement de ses applications : Swift. L’objectif de celui-ci étant de remplacer l’Objective-C, un langage qui date de 1983 et qui n’est pas très souple à utiliser. Le métier de développeur Swift a donc un bel avenir devant lui :

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